L'ennuyeux argentin
Che, 1ère partie L'argentin de Steven Soderbergh
Steven Soderbergh adapte la vie du Che depuis sa décision de libérer Cuba au côté de Fidel Castro à la prise de La Havane. On suit le Che dans ses errances, ses combats, et surtout... on s'ennuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiie!!!
Steven Soderbergh est capable du meilleur comme du pire, ici, on a eu droit au pire de l'ennui à mon sens!
Déjà l'histoire est totalement confuse si on a pas amené son manuel d'histoire avec soi, les allers retours incessants entre le Che dans la cambrousse et le Che en plein discours devant l'ONU n'ont fait que m'embrouiller (mais comme dit The prof d'allemand, à partir d'un moment faut plus chercher à comprendre, et c'est là que l'ennui s'installe et que j'ai commencé à regarder ma montre de désespoir). Ensuite, il ne se passe absolument rien, les personnages crapahutent, le Che nous assène une citation, ils crapahutent, se tirent dessus et ça dure comme ça, sans fin!
Quand je pense qu'à Cannes, ils ont du se farcir les deux épisodes à la suite!! Moi je passe mon tour, et je lâche l'affaire! C'est bien dommage parce que cette période me passionne!