"Maybe okay will be our always."
J'avais entendu parler du livre, le roman de John Green a enflammé les critiques comme les lecteurs, mais en découvrant le sujet, je n'ai pas eu le courage de l'ouvrir, et puis le film a été annoncé, et toujours la même réaction, je me disais que je ne pourrais pas, que ça serait trop dur, mais le destin qui fait bien les choses, m'a envoyé une invitation pour l'avant-première du film, j'ai donc déposé un paquet de kleenex dans mon sac, et le coeur serré, j'y suis allée...
Nos étoiles contraires de Josh Boone adapté du roman de John Green
Hazel a 18 ans, elle est en train de mourir du cancer qui ronge ses poumons. Un jour, elle se rend à un groupe de soutien, et elle croise Gus, Gus est en rémission depuis un an, mais le cancer lui a volé une de ses jambes, et Gus va voler le coeur d'Hazel qui n'était pas encore mort.
Ne vous fiez pas à ce terrible sujet Nos étoiles contraires ne se réduit pas à un mélo tire-larmes, l'histoire d'Hazel et de Gus est pleine de joie, et surtout de rires, parce que, oui, avec Nos étoiles contraires, on use beaucoup de kleenex, mais on rit aussi beaucoup. Gus a décidé de faire un pied de nez à la maladie, et ce n'est pas les barrières qu'a dressées Hazel qui l'empêcheront de l'aimer, et il se rit tous les jours de la mort, en mettant une cigarette dans sa bouche et en l'allumant jamais.
Je n'ai pas lu le livre, mais l'émotion dans le film est bien là, tout le temps, et même si Hazel nous a bien dit au début que la vie n'est pas un conte de fée, et qu'elle allait nous raconter la vraie vie, l'histoire de Gus et d'Hazel sonne comme un conte de fée, même quand le vilain gâcheur de rêve veut tout casser.
Les acteurs sont incroyables de justesse, et pourtant ce n'était pas gagné car on retrouve Shailene Woodley, la Tris de Divergent et Ansel Elgort qui n'est autre que son frère Caleb dans Divergent aussi, j'ai paniqué sur le moment, mais finalement, j'ai vite oublié la réalité, et le caleb insipide de Divergent a remué mon petit coeur.