" In the coast guard they say you go out, they don't say you gotta come back."

The Finest Hours de Craig Gillepsie
En 1952, au large de Cape Cop, deux pétroliers s'abîment en mer, si les gardes côtes parviennent à porter secours assez rapidement à l'un d'entre eux, le second brisé en deux, erre en mer, avec la moitié de l'équipage encore vivant, mais les rescapés ne parviennent que chaotiquement à envoyer des appels de détresse. Quatre gardes côtes partent leur porter secours, à leur tête Bernie Webber, bien décidé à sauver ces marins coûte que coûte, tandis que, sur le pétrolier, le mécanicien Ray Sibert tente des manoeuvres de dernier recours pour maintenir le bout de navire à flot.
The Finest Hours, bien que basé sur une histoire vraie, apparaît comme un film catastrophe classique de naufrage, on retrouve les scènes de vagues géantes qui semblent vouloir engloutir le bateau et ça reste toujours impressionnant, vous resterez souvent cloué à votre siège, sans respirer, puis en poussant un gros soupir de soulagement involontaire juste après.
Côté casting, je n'ai pas trop aimé le rôle de Chris Pine qui joue les gardes côtes coincés, heureusement que sa petite amie est bien plus pêchue, mais je suis restée sous le charme de Casey Affleck.